« Je ne suis pas ce qui m’est arrivé, je suis ce que je choisis de devenir. » – Carl Gustav Jung
🌈Pour faire suite à mes pensées psychologiques précédentes sur la résilience, je rappelle que ce n’est pas nier la douleur. Ce n’est pas non plus s’en débarrasser. C’est accueillir ce qui a été, laisser circuler les émotions, les accepter, pour pouvoir les transformer.
🌀Avec le temps et du travail sur soi, ce qui faisait mal devient une partie de notre force. Ce que l’on croyait être une faiblesse devient une ressource.
💫 La résilience n’efface rien. Elle transmute : elle transforme la blessure en apprentissage, la peur en courage, la perte en élan. Nous pouvons alors choisir d’être qui nous sommes, et de choisir ce que nous faisons de nos blessures.
⚠️ Cela ne veut pas dire que c’est simple et que la phrase « quand on veut on peut » est vraie, mais simplement de dire que nous avons une part de responsabilité dans notre vie et notre vécu, mais surtout dans notre devenir. N’est-ce pas plus précieux de se dire que nous avons le choix ?
👁️🗨️ Dans mon propre chemin, j’ai connu des expériences douloureuses qui sont devenues des points d’appui pour mieux me respecter, mieux aimer, mieux construire, mieux me connaître et surtout, pour me fixer des limites, être davantage à l’écoute de mes besoins.
❓ Et vous, quels trésors insoupçonnés avez-vous découverts en vous, à travers vos épreuves ?
A bientôt.
Servane
